12 Avril 2017
A l'occasion du centenaire de la guerre 14-18, les élèves de 4 classes de 3è au collège Pierre et Marie Curie de Braine, dans l'Aisne, ont travaillé pendant deux mois sur le thème de la bataille du Chemin des Dames. Une approche originale de l'histoire pour leur faire connaître celle de leur région proposée par le collectif Curry Vavart.
20 Mars 2017
...Du 6b à Saint-Denis aux Grands Voisins à Paris, les lieux alternatifs s'emparent de plus en plus des terrains et des bâtiments laissés vacants. Urbaniste à l'Institut d'aménagement et d'urbanisme d'Île-de-France, Cécile Diguet est co-auteure d'une étude sur le sujet ainsi que d'une carte répertoriant les initiatives d'urbanisme transitoire grand-parisiennes...
9 Mars 2017
Des lieux hybrides qui expérimentent de nouvelles formes artistiques contemporaines, des espaces plus libres et engagés à la frontière entre l’institution culturelle et le squat d’artistes. Parmi les plus connus, il y a l’incontournable 6B, un espace de création et de diffusion installé dans un ancien immeuble de bureaux à Saint-Denis. Le Shakirail et la Villa Belleville, dans le 18° et le 20°, hébergent des artistes et mettent en valeur leur création. La Briche à Saint-Denis et la Villa Mais d’Ici à Aubervilliers expérimentent des projets artistiques contemporains, souvent en lien avec les habitants, tout comme Les Jardins d’Alice à Montreuil, ou La Halle Papin à Pantin.
3 Mars 2017
...Comme la plupart des femmes présentes ce soir au Shakirail, la petite brune au carré parfaitement cuté entend depuis toujours des remarques sur son poids. Il est 19h et dans le squat historique du 18e arrondissement de Paris, le Yogras (link is external) va commencer. Du yogas pour les gros !....
13 Février 2017
L'ami Derek a encore mis les bouchées doubles pour nous proposer un millésime riche et original de son Kino Klub, rendez-vous incontournable du Paris cinéphile des marges numériques et analogiques. Rendez-vous dimache prochain au bord des rails pour une séance de trainspotting entre deux psychopathes d'outre-manche, la vraie classe.
« Ce Kino Club sera hanté par la question du malaise social britannique depuis lequel une figure bien particulière va émerger : le psychopathe !
Non plus Jack L'éventreur ou Jekyll/Hyde, mais le jeune homme déséquilibré pris dans la tourmente de la lutte sociale (sans merci) des classes !
Étrangetés, bizarreries, violence, démence, sexualité ambiguë... seront au rendez-vous pour vous faire flipper dans un premier temps avant de provoquer et aiguiser vos sens critiques dans un deuxième.
En effet, notre monde est encore beaucoup trop proche de cette peinture sociale cauchemardesque et imprévisible... Mais qui dit britannique dit humour noir, très noir !
« Ce Kino Club sera hanté par la question du malaise social britannique depuis lequel une figure bien particulière va émerger : le psychopathe !
Non plus Jack L'éventreur ou Jekyll/Hyde, mais le jeune homme déséquilibré pris dans la tourmente de la lutte sociale (sans merci) des classes !
Étrangetés, bizarreries, violence, démence, sexualité ambiguë... seront au rendez-vous pour vous faire flipper dans un premier temps avant de provoquer et aiguiser vos sens critiques dans un deuxième.
En effet, notre monde est encore beaucoup trop proche de cette peinture sociale cauchemardesque et imprévisible... Mais qui dit britannique dit humour noir, très noir !
16 Janvier 2017
...D’autres lieux sur Paris et en région, comme Jour et Nuit Culture, Le DOC! ou l’association Curry Vavart, permettent également cette rencontre entre création et diffusion, avec leurs identités distinctes. Ces initiatives doivent se poursuivre et surtout se multiplier avec désordre.
20 Décembre 2016
AVEC LE COLLECTIF GRAS POLITIQUE, ELLES DÉNONCENT LES RAVAGES DE LA GROSSOPHOBIE
10 Octobre 2016
....Dans cet espace certains acteurs du show déambulent et sont déjà bien dans leur rôle. 19h30-20h On entre dans le bâtiment, un escalier en colimaçon pour entrer dans la salle de projection un salle sympathique qui annonce l’ambiance « scary » de la séance les places sont prises d’assaut, la salle d’une soixantaine de places est vite remplie. Un petit monsieur nous présente le principe de la séance interactive, le festival des cinémas différents, quelques courts métrages et extrait de film en amont de Carrie. Puis des actrices nous distribuent des petits sachets mytérieux…
3 Juin 2016
On ne présente plus 'Carrie au bal du diable', cultissime chef-d'œuvre de Brian de Palma et certainement l'un des meilleurs films d'horreur jamais réalisés.
Cela dit, même si vous connaissez par cœur cette géniale adaptation du roman de Stephen King, le collectif d'artistes Curry Vavart propose une expérience immersive qui s'annonce particulièrement jouissive et ludique autour du film, avec une séance unique de « cinéma dynamique », ce dimanche octobre à partir de 19h au Shakirail, l'un des plus chouettes lieux du 18e arrondissement.
Cela dit, même si vous connaissez par cœur cette géniale adaptation du roman de Stephen King, le collectif d'artistes Curry Vavart propose une expérience immersive qui s'annonce particulièrement jouissive et ludique autour du film, avec une séance unique de « cinéma dynamique », ce dimanche octobre à partir de 19h au Shakirail, l'un des plus chouettes lieux du 18e arrondissement.
14 Mars 2016
Le Comptoir des ressources créatives
Les conditions de l’art
« Aujourd’hui, la mobilité est quelque chose d’essentiel pour les artistes. On ne peut plus faire son boulot là où on est né, sans intention d’en bouger. Or, en tant que créateur solo, mettre en place ces liens avec l’étranger est très difficile», poursuit l’illustratrice. La suggestion semble d’autant plus à-propos que CRC, pour être très ancré localement, n’en est pas moins représentatif d’un mouvement émergent à l’échelle européenne, citant dans ses inspirations le Krux d’Amsterdam ou Curry Vavart, un squat d’artistes devenu un lieu subventionné par la mairie de Paris.
Les conditions de l’art
« Aujourd’hui, la mobilité est quelque chose d’essentiel pour les artistes. On ne peut plus faire son boulot là où on est né, sans intention d’en bouger. Or, en tant que créateur solo, mettre en place ces liens avec l’étranger est très difficile», poursuit l’illustratrice. La suggestion semble d’autant plus à-propos que CRC, pour être très ancré localement, n’en est pas moins représentatif d’un mouvement émergent à l’échelle européenne, citant dans ses inspirations le Krux d’Amsterdam ou Curry Vavart, un squat d’artistes devenu un lieu subventionné par la mairie de Paris.
2 Février 2016
Dans le cadre de la commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale, tout le collège Pierre-et-Marie-Curie de Braine a proposé, cette année encore, de s'associer au projet de l'établissement et de Serge Astréoud, professeur d'arts plastiques, en accueillant l'association parisienne du collectif Curry Vavart. Ces plasticiens, photographes, danseurs ou comédiens se sont regroupés depuis 2006 pour un mélange des arts très enrichissant. À Braine, l'association a présenté La Grande Guerre, son exposition autour d'une traduction artistique de cette période (sculptures, peintures etc.). Deux comédiens ont aussi joué une scène relatant à la fois la vie dans les tranchées et les moments forts des retrouvailles lors de quelques permissions accordées aux soldats.
Une seconde exposition présentait le court métrage Le dormeur d'Hadrien Touret dont les scènes ont été tournées en 2014 au fort de Condé et à Braine et des objets de la Première Guerre mondiale prêtés notamment par Jean Pons, maire adjoint.
Enfin, l'association Eperon 132 de Crouy présentait aux élèves des objets datant de ce conflit et leur montrait l'évolution de la tenue vestimentaire. Les bénévoles de l'association se sont prêtés avec grand intérêt au jeu des questions.
Les élèves de 3 e , deux classes de 5 e , une classe de quatrième, une classe de 6 e et trois classes de CM2 ont profité de cette journée exceptionnelle. À la suite de ces rencontres et des ateliers, il est prévu une restitution du travail des élèves fin mars, sous la forme d'une exposition et d'une pièce de théâtre jouée par les élèves.
Par ailleurs, les demi-pensionnaires ont eu un repas spécial concocté par le cuisinier Stéphane Douchez : vin chaud (sans alcool), bœuf en gelée (style « corned-beef »), ragoût et gâteaux secs…
Une seconde exposition présentait le court métrage Le dormeur d'Hadrien Touret dont les scènes ont été tournées en 2014 au fort de Condé et à Braine et des objets de la Première Guerre mondiale prêtés notamment par Jean Pons, maire adjoint.
Enfin, l'association Eperon 132 de Crouy présentait aux élèves des objets datant de ce conflit et leur montrait l'évolution de la tenue vestimentaire. Les bénévoles de l'association se sont prêtés avec grand intérêt au jeu des questions.
Les élèves de 3 e , deux classes de 5 e , une classe de quatrième, une classe de 6 e et trois classes de CM2 ont profité de cette journée exceptionnelle. À la suite de ces rencontres et des ateliers, il est prévu une restitution du travail des élèves fin mars, sous la forme d'une exposition et d'une pièce de théâtre jouée par les élèves.
Par ailleurs, les demi-pensionnaires ont eu un repas spécial concocté par le cuisinier Stéphane Douchez : vin chaud (sans alcool), bœuf en gelée (style « corned-beef »), ragoût et gâteaux secs…
19 Novembre 2015
Par Jean Pierre Brigaudiot
...Le squat comme solution alternative et acceptée
Durant la seconde moitié du vingtième siècle, malgré le développement d’une offre considérable d’ateliers dans le parc du logement social locatif, l’attente auprès des bailleurs restera fort longue et une solution alternative va surgir, les squats, qui vont « inventer » et réquisitionner des espaces de travail. Pour beaucoup de ces squats, une fois gérés par une association Loi de 1901, la négociation avec la Ville de Paris a permis de les pérenniser et même de les subventionner ; ainsi en est-il des Frigos, anciens entrepôts frigorifiques du quartier Austerlitz, ou du 59 Rivoli, avec une trentaine d’ateliers en plein centre de Paris, du Shakirail où différentes formes d’art trouvent à se loger, et du Marchal qui pratique les ateliers partagés entre plusieurs artistes. Cette procédure de transformation des squats en ateliers subventionnés témoigne du besoin important en ateliers auquel les institutions et bailleurs ne peuvent faire face en termes de constructions neuves. Cette solution du squat est sans nul doute intéressante en termes de visibilité et en termes de lieux de travail pour les artistes puisqu’ils s’installent dans les locaux désaffectés et obtiennent relativement aisément l’aval des pouvoirs publics ; il est néanmoins courant que des squats donnent lieu à expulsion.
...
...Le squat comme solution alternative et acceptée
Durant la seconde moitié du vingtième siècle, malgré le développement d’une offre considérable d’ateliers dans le parc du logement social locatif, l’attente auprès des bailleurs restera fort longue et une solution alternative va surgir, les squats, qui vont « inventer » et réquisitionner des espaces de travail. Pour beaucoup de ces squats, une fois gérés par une association Loi de 1901, la négociation avec la Ville de Paris a permis de les pérenniser et même de les subventionner ; ainsi en est-il des Frigos, anciens entrepôts frigorifiques du quartier Austerlitz, ou du 59 Rivoli, avec une trentaine d’ateliers en plein centre de Paris, du Shakirail où différentes formes d’art trouvent à se loger, et du Marchal qui pratique les ateliers partagés entre plusieurs artistes. Cette procédure de transformation des squats en ateliers subventionnés témoigne du besoin important en ateliers auquel les institutions et bailleurs ne peuvent faire face en termes de constructions neuves. Cette solution du squat est sans nul doute intéressante en termes de visibilité et en termes de lieux de travail pour les artistes puisqu’ils s’installent dans les locaux désaffectés et obtiennent relativement aisément l’aval des pouvoirs publics ; il est néanmoins courant que des squats donnent lieu à expulsion.
...
6 Novembre 2015
Le bâtiment de la SNCF situé au-dessus des voies ferrées au 72 rue Riquet est occupé depuis 2011 par un collectif d’artistes de tout poil. Un squat légal et sacrément bien organisé.
27 Septembre 2015
Noise c’est plein de lieux et d’histoires d’amour. S’il fallait en retenir une particulièrement épicée, ce serait celle qui commença un soir de Saint Valentin avec le Shakirail. Attention, ceci n’est pas une recette de cuisine, c’est un mot doux et parfumé.
Dans l’aventure des “Noise Apéros”, le nom du Shakirail résonne comme un écho. Quiconque a prêté l’oreille à l’actualité de Noise de ces dernières années aura entendu parler de cet espace de création et de vie occupé par le collectif Curry Vavart. Le Shakirail, ou “Shaki” pour les intimes, est à l’image de ses racines. Perché sur une butte entre les voies ferrées de la Gare de l’Est et l’émulation du quartier de Marx Dormoy, le Shaki rassemble un mélange de cultures, de tendances et de techniques, toujours en mouvement et parfois à l’avant-garde de ses disciplines, où le bruit lointain des trains qui s’éloignent de la capitale rappellent les discours de liberté qui se crient sous ses toits. Petite visite lyrique et virtuelle de ce lieu mythique pour comprendre notre coup de foudre et rappeler nos expériences communes.
Dans l’aventure des “Noise Apéros”, le nom du Shakirail résonne comme un écho. Quiconque a prêté l’oreille à l’actualité de Noise de ces dernières années aura entendu parler de cet espace de création et de vie occupé par le collectif Curry Vavart. Le Shakirail, ou “Shaki” pour les intimes, est à l’image de ses racines. Perché sur une butte entre les voies ferrées de la Gare de l’Est et l’émulation du quartier de Marx Dormoy, le Shaki rassemble un mélange de cultures, de tendances et de techniques, toujours en mouvement et parfois à l’avant-garde de ses disciplines, où le bruit lointain des trains qui s’éloignent de la capitale rappellent les discours de liberté qui se crient sous ses toits. Petite visite lyrique et virtuelle de ce lieu mythique pour comprendre notre coup de foudre et rappeler nos expériences communes.
7 Septembre 2015
Ils sont respectivement anthropologue et archéologue. Sophie Accolas et Jacob Durieux ont transporté leur bibliothèque de quatre mille ouvrages au Shakirail* et imaginé une entité de recherche en sciences humaines indépendante, le Laboratoire autonome d’anthropologie et d’archéologie (LAAA), pour poursuivre leur travail de chercheurs en dehors des contraintes de l’institution. Un « jeu situationniste », qui les inscrit dans une histoire alléchante de la production intellectuelle en marge de l’académie.
27 Août 2015
Fabrique Ton Spectacle 2014 est cité dans le rapport de gestion sociale 2014 d'ICF La Sablière
28 Juillet 2015
Quand les artistes partagent leur créativité avec les locataires, quand ils vivent et travaillent au coeur même d'une résidence locative, l'art se démocratise.